Les révolutionnaires de l’Amérique ibérique dans le Paris du XIXe siècle
Cette promenade propose de faire découvrir certains des lieux de l’Amérique qui ne s’appelle pas encore « latine » dans le Paris du XIXe siècle. Le parcours débute devant l’immeuble où résidait Simón Bolivar, connu comme le « Libertador » de l’Amérique espagnole, quand il était à Paris, avant de se poursuivre chez les imprimeurs des premiers textes d’exilés qui lancent, à Paris, l’expression « Amérique latine ». Elle se termine chez les penseurs de l’indépendance caribéenne (Cubains et Portoricains exilés en France) qui s’organisent dans la capitale pour libérer leurs îles du joug impérial dans les années 1890.
Cette promenade est organisée par une historienne et un historien des mondes américains, Romy Sanchez (CNRS) et Clément Thibaud (EHESS).
Rendez-vous : le samedi 17 mai à 10H30 devant l’entrée de la BNF Richelieu, rue Vivienne.
Inscription obligatoire : claudine.ducol@gmail.com
Légende gravure : Le boulevard des Italiens en 1859 : devant le café Helder à cinq heures du soir, Ecole française, Collection privée / Bridgeman Images. Des exilés d’Amérique ibérique s’y réunissaient dans les années 1850.
OpenEdition vous propose de citer ce billet de la manière suivante :
editeur (11 avril 2025). Les révolutionnaires de l’Amérique ibérique dans le Paris du XIXe siècle. Actualité du XIXe siècle. Consulté le 21 avril 2025 à l’adresse https://doi.org/10.58079/13qr0