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À la recherche de la meilleure des républiques

« A la recherche de la meilleure des républiques ». Les romanciers-feuilletonistes engagés sous la Deuxième République française. Littérature, presse, politique et morales.  Thèse de Sébastien Hallade Docteur qualifié en histoire contemporaine de Sorbonne-Université, Centre d’histoire du XIX e siècle (Sorbonne-Université/Université Panthéon-Sorbonne).
Du 1er août 1850 au 29 février 1852 tout roman-feuilleton est taxé. Pourquoi la  majorité de l’Assemblée nationale législative décide-t-elle à l’été 1850 de taxer le roman-feuilleton ? Cette thèse s’appuie sur le recensement de 155 auteurs de romans-feuilletons engagés et des 952 romans-feuilletons publiés dans la presse politique des départements de la Seine et de Seine-et-Oise et sur une démarche prosopographique. Au carrefour d’une histoire politique, littéraire et religieuse, elle entend surtout interroger l’objet roman-feuilleton et la figure du romancier-journaliste quarante-huitard à la lumière de la question morale sous la Deuxième République ainsi que la pertinence de la césure de 1850 comme rupture littéraire, esthétique et éthique. 
Position de thèse
Légende : Cham, «Candidature romantico-politique d’Eugène Sue »,  Le Charivari, 19ème année, n°114, mercredi 24 avril 1850, p. 3.

 


OpenEdition vous propose de citer ce billet de la manière suivante :
editeur (28 octobre 2024). À la recherche de la meilleure des républiques. Actualité du XIXe siècle. Consulté le 24 mai 2025 à l’adresse https://doi.org/10.58079/12l16


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